Lundi 18 avril- Le fait que l’académicien ait été chassé et qualifié de ce sobriquet a ému l’ensemble de la classe politique. À “facho”, Finkielkraut, ivre de colère, a répliqué par “fascistes”. En d’autres termes, c’était une dispute entre bien pensants de gauche et de “droite”. http://www.medias-presse.info/